Cela fait belle lurette que l’on cherche à créer des hymnes olympiques. Alors nous qui sommes fiers d’être la patrie du baron Pierre de Coubertin, fondateur de l’olympisme moderne, nous pouvons dire que nous sommes aussi les premiers à écrire des hymnes à la gloire des sportifs. Dès les tragédies lyriques de Jean-Philippe Rameau, se fixe la grammaire musicale et émotionnelle d’un hymne qui célèbre la force, la puissance, l’engagement physique.Dans le second épisode de cette chronique diffusé ce week-end, vous entendez des extraits de : Équipe olympique française, Faites du sport plus la guerre, 2000William Christie et les Arts Florissants, Castor et Pollux, Acte I, scène 4, Premier air des Athlètes, 1737 (enregistrement de 1993)Christine Bare, Sous un seul flambeau, 1968Yves Duteil, La Fleur de l'impossible, 1992Roger Boutry, Marche solennelle des JO, 1968Vangelis, Titles (BOF Les Chariots de feu), 1981Philip Glass, Lighting of the Torch and Closing, 1984 Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique sur Twitter. En juillet et août dernier, nous avons passé Un été en Souchon, pendant lequel Alain Souchon nous a guidé dans une promenade savoureuse dans toute une vie d’amour de la chanson. Tout l’été 2016, en compagnie de Vincent Delerm, nous avons baguenaudé dans La Playlist amoureuse de la chanson, exploration buissonnière du patrimoine populaire. Vous pouvez également prolonger les gourmandises de cette chronique d’été avec le Dictionnaire amoureux de la chanson française, coédité par Plon et franceinfo. Pour les professeurs, lycéens et collégiens, franceinfo et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.