Auteur de provocations en série, le président d'honneur du FN dérange au sein même de son parti. Mais certains militants continuent de le soutenir.
Le parquet de Paris a ouvert, jeudi 2 avril, une enquête préliminaire pour contestation de crime contre l'humanité, après que Jean-Marie Le Pen a de nouveau qualifié les chambres à gaz de "détail" de la seconde guerre mondiale. Cette nouvelle sortie polémique du président d'honneur du Front national a obligé plusieurs dirigeants du parti à s'en désolidariser. Une habitude au FN, où la liberté de parole du patriarche dérange de plus en plus.
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Le député Rassemblement bleu Marine du Gard, Gilbert Collard, le 2 avril, sur Twitter. JEAN-PAUL PELISSIER / REUTERS
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La présidente du FN, Marine Le Pen, citée par L'Express, le 2 avril. CHRISTIAN HARTMANN / REUTERS
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Le trésorier du FN, Wallerand de Saint-Just, le 10 janvier, à l'AFP, après que Jean-Marie Le Pen a affirmé : "Je suis Charlie Martel". MAXPPP
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Le vice-président du FN, Florian Philippot, le 23 janvier, sur Europe 1, après que Jean-Marie Le Pen a vu "la signature d'une opération des services secrets" dans l'attaque contre Charlie Hebdo. MAXPPP
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Le secrétaire général du FN, Nicolas Bay, le 3 avril, sur Europe 1. MAXPPP
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La présidente du FN, Marine Le Pen, fin mars, au mensuel Causeur. BENOIT TESSIER / REUTERS
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Une militante FN sexagénaire, le 29 novembre 2014, lors du congrès du FN, à Lyon (Rhône). MAXPPP
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Pierre-Henri Eisenschmidt, responsable cantonal FN dans le Bas-Rhin, le 29 novembre 2014, lors du congrès du FN, à Lyon (Rhône). JEFF PACHOUD / AFP
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Le député Rassemblement bleu Marine du Gard, Gilbert Collard, le 8 juin 2014, sur BFMTV, après que Jean-Marie Le Pen a suggéré une "fournée" d'artistes critiques du FN. JEAN-SEBASTIEN EVRARD / AFP
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Le vice-président du FN, Florian Philippot, le 24 juin 2014, sur France 5, après que Jean-Marie Le Pen a suggéré une "fournée" d'artistes critiques du FN. JEFF PACHOUD / AFP